Qui dit fin d’année, dit processus d’évaluation! Ce rituel qui se déroule principalement dans les grandes organisations, est aussi incontournable que mal aimé. Entre méfiance quant aux objectifs réels du processus, la volonté de ne pas froisser ses collaborateurs ou son manager et fatigue de fin d’année, tous les éléments sont réunis pour en faire une sorte de version moderne de la torture médiévale (sans exagération, bien entendu). Force est donc de constater qu’il y a quelque chose qui cloche fondamentalement dans ce processus.
En effet, si l’objectif de base (bilan de l’année et développement des collaborateurs) est louable voire indispensable, sa réalisation fait, la plupart du temps, penser au mieux à un exercice bureaucratique dans lequel vous ne risquez rien de moins que votre job, au pire à une sorte d’interrogatoire façon inquisition espagnole. Penchons-nous donc sur les différents outils d’évaluation: